Elle ne s'appelait pas Joséphine de Beauharnais, mais Marie-Joseph-Rose de Tascher de La Pagerie. C'est par la grâce de Napoléon qu'elle prit le nom de Joséphine, puis le titre d'impératrice. Ce premier mystère en cache beaucoup d'autres, dont Pierre Branda lève successivement les voiles. Certes, la Créole avait la grâce du cygne, dont elle se fit un instrument efficace, au point d'être désignée comme " l'incomparable ", de sa naissance à la Martinique en 1763 jusqu'à sa mort à Malmaison en 1814...